Toros de El Torero; compliqués dans l'ensemble; La brève dont le titre était : "Après Bayonne, La Porte des Consuls pour Juan? Leal" ?: La photo ci dessus  ne fut malheureusement pas  pour lui prémonitoire. Pourtant le ganado d'El Torero goutte en général allègrement à la Flanelle: niet.

La photo ci dessus, Juan Leal blessé à Bayonne ce mois d'août pourrait refléter ce que fut cette course d'El Torero (première corrida de Feria).

"Clopin clopan". Certains bestiaux se laissèrent "apprivoiser" alors que d'autres refusaient tout "toques". Commençons par le chef de Lidia:

MANUEL ESCRIBANO: LE "GERENOIS"  éssuya un avis avant de saluer/ oreille après 2 avis.

L'andalou usa ses nerfs , devant un premier toro retord; face à son second plus coopératif, le talent du "Blond de Gerena" fut mis en scène.

Après un tercio de banderilles mené de main de maître; Manolo s'employa à faire admettre à un toro (trop piqué) qu'il n'y avait pas que le sable de l'arène d'interressant mais aussi ce  bout de tissu rouge. Difficile à la mort, malgrès deux avis l'oreille tomba: venant récompenser une faena faite de volontariat agrémentée de quelques séries de belle facture.

JIMENEZ FORTES: SILENCE ET SILENCE APRES UN AVIS:  Il y a des jours avec et des jours sans: le Jimenez Fortes que l'on peut voir fin artisitique n'était pas là aujourd'hui: les toros qu'il "toucha au sorteo" fut sans doute le pire; c'est peu dire lorsque l'on voit les autres.

On ne peut reprocher au torero de ne pas avoir essayer, mais il est (malheureusement) vraiment patent que moins de contrâts le matadors a à son actif et moins "armé" il est devant les toros. Quelques "sustos", et un épée tombée au second alors que l'avis avait retentit.

( Jimenez Fortes).

JUAN LEAL: SILENCE ET OREILLE:

Enfin, l"Enfant du Pays": auteur d'une bonne temporada BAYONNE, SAINT PERDON, ARLES on attendait une fin de saison en fanfare. On eût une fanfare d'"Avis". Que dire sur Juan Leal; que sont ils en train de se dire Juan Paquito et les autres dans la chambre du Maestro. "Has cumplido": oui Juan Leal a fait ce que dois faire un matador de toros. Tuer ses deux toros du mieux qu'il puisse. Ce fut le cas, notamment lors du second où le tout jeune matador coupa la deuxième et dernière oreille de cette tarde.

Fotos (archives): Marc Vargas

Reseña: merci à Alain Guéseau.